...traversés avec une vitesse moyenne de 35km l’heure… Costa Rica, pays de volcans, de forets pluviaux et de plages vides bordant l’océan, sur des kilomètres, où les gens sont souriants et prêts à vous aider à tout moment. C'est également le pays des routes enjolivées de trous énormes, où l'on rencontre de monstrueux, mais inoffensifs arachnides, des serpents venimeux et de mignonnes petites grenouilles aux yeux rouges. C’est un paradis pour les ornithologues, les amoureux de la nature, du café et des fruits savoureux. Au Costa Rica, je me suis réconciliée avec la mangue, j’ai mangé des papayes pas mal du tout (je déteste ça, pourtant) et j’ai goutté à la goyave dont je suis devenue folle dès la première bouchée.
Au Costa Rica, nous nous sommes lancés à la recherche des paresseux somnolents perchés en haut de leurs arbres, nous sommes tombés nez à nez avec un fourmilier bien occupé et rencontré de grandes troupes de coatis, nous avons suivi les traces du tapir timide qui n'a pas daigné se monter et nous avons fait un grand détour devant un troupeau de pécaris peu commodes et très odorants.
Nous avons dormi sur les contreforts de l’Arenal, un volcan classé parmi les volcans les plus dangereux de la planète. En signe de bienvenue, il a éternué en crachant une jolie corole de lave ce qui nous a complètement laissé bouche-bées. Après un tel « bonjour » j’ai eu des cauchemars… Surtout qu'il est difficile de dormir avec un volcan qui produit des rejets pyroclastiques presque en permanence : c'est comme un éboulement sans fin.
Nous avons observé des singes vivant en liberté tout on se posant la question de savoir qui était le plus fascinés : nous par eux ou eux par nous :)
Nous sommes partis en bateau à la recherche des baleines à bosses. Nous en avons rencontré plus d'une dizaine qui nageait et soufflait autour de nous. La nuit, dans le cadre d'un programme national, nous avons marqué des tortues olivâtres qui pondaient sur la plage où elles avaient elles-mêmes vu le jour quelques années plutôt. Un souvenir inoubliable.
Je me suis fait pincer par un grand ara amoureux… Le soir, pour nous endormir, nous étions bercés par les cris des singes et le matin, réveillés par les chants des toucans. La journée nous devions crier pour couvrir les chants de cigales. Costa Rica… côte riche. Paradis sur terre ! Nous y retournerons un jour.
Contact... - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya
Sur cette photo, sous voyez la petite main d'un singe araignée. C’est un de ces malheureux singe-jouet, arraché à son environnement naturel pour en faire un animal domestique. Le mignon bée singe a grandi et, au bout d’un certain temps, a lassé ses propriétaires qui lui ont rendu la liberté en le condamnant à une mort certaine… Un singe apprivoisé est incapable de survivre en liberté.
Le Curú National Wildlife Refuge, sur la péninsule de Nicoya, recueille des singes comme celui-là, tout en essayant de leur apporter de meilleures conditions de vie en semi-liberté.
Durant notre séjour dans la réserve, il y avait quelques singes qui vivaient dans l’enclos. Ils nous ignoraient complètement. Tous, sauf un, qui ne nous lâchait pas d’une semelle. On voyait bien qu’il avait besoin de contact avec les humains. En me voyant, le petit singe a couru vers la grille et a tendu le bras vers moi. Nous sommes restés ainsi main dans la main un très long moment. Quand je partais, en pleurant comme une madeleine, il faisait tout pour me retenir…
Singe-araignée vivant en liberté- Parque Nacional Santa Rosa. Guanacaste
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge, Parque Nacional Volcán Arenal et Parque Nacional Volcán Rincón de la Vieja
Singe écureuil - Parque Nacional Manuel Antonio
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge, Parque Nacional Corcovado et Parque Nacional Volcán Rincón de la Vieja
Araçari à collier - Parque Nacional Manuel Antonio
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge et Hacienda Barú
Paresseux à trois doigts - Parque Nacional Manuel Antonio
Le Curú National Wildlife Refuge est, sans aucun doute, en endroit magique. Les amoureux de la nature, surtout ceux avec le cœur bien accroché, y trouverons tout dont ils rêvent: la foret pluviale, la forêt sèche typique de la province de Guanacaste, la mangrove, des marécages, la plage bordée de palmiers, des falaises rocheuses, ainsi qu’une profusion des animaux sauvages.
Nous sommes arrivés à Curú peu avant le couché du soleil. Le garde à l'entrée de la réserve nous a tout de suite prévenus qu’il n’était trop tard pour commander le repas du soir. Alors si nous avions faim, il nous fallait retourner au village. Ensuite, suivant ses indications, nous avons repris la voiture pour rejoint notre cabina, qui nous a laissée complètement sans voix. Si nous n’avions pas été fatigués par une longue et épuisante route, nous serions enfuis en hurlant… J’ai déjà eu l’occasion de dormir dans des endroits vraiment divers, des plus luxueux aux plus sordides. Cependant la cabinas à Curú dépassait même la nuit passé à la gare de Saint-Lazare à Paris, même si, à l’époque, j’étais persuadée qu'il était impossible de faire pire. Je me trompée…
Situé sur une splendide plage, notre petit bungalow était le dernier d'une série de six, dont deux étaient à demi écroulés et heureusement désaffecté. Nous avions à disposition une chambre, une salle de bain, une cuisine. Il faut ajouter des guillemets à ces termes. Le bagne de Cayenne devait avoir cinq étoiles lorsqu'il était en fonction, si on le compare à notre logement. La différence essentielle doit être l'absence de serrure... Les murs lépreux grouillaient d'une une multitude de fascinantes bestioles plus horribles les unes que les autres, dont les plus étonnants étaient certainement les préhistoriques amblypyges, contre lesquelles le vague souvenir de la moustiquaire ne représentait aucun obstacle…
La fatigue nous a vaincus. Nous avons déplacé notre lit au milieu de la chambre et nous nous sommes mis d’accord que la douche n’était pas une priorité. Nous pourrions dormir sale et nous laver le lendemain dans la mer. Après quoi nous quitterions cet endroit à l’aube. Nous avons dormi très mal, sans arrêt réveillés par les noix de coco s’écrasant sur le toit métallique de notre bungalow. A l’aube nous étions debout près à partir… Ensuite nous avions vu des capucins, des singes hurleurs, des cerfs de Virginie, des basilics, des ratons laveurs ainsi qu’un nombre incroyable de différents oiseaux. Nous nous sommes baignés dans la mer, avons mangé le petit déjeuner et… sommes resté pour une nuit de plus :)
Spatule rosée - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya.
Capucin moine - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya.
Caracara huppé - Curú National Wildlife Refuge.
Capucin moine - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya.
Halloween Crab - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya.
Ibis - Curú National Wildlife Refuge, Penisula de Nicoya.
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya.
Grenouille aux yeux rouges - Parque Nacional Volcán Arenal.
Pour rencontrer cette adorable grenouille aux yeux rouge, il faut partir au crépuscule. C’est une des grenouilles plus médiatisées des forêts pluviales de l’Amérique Centrale et du Sud. La première fois, nous sommes partis à sa rencontre en compagnie d’un guide, sans lequel il nous aurait été impossible de la trouver. Plus tard, dès que nous entendions son chant caractéristique à la tombée de la nuit, nous partions immédiatement à sa rencontre. Ces petites grenouilles ne sont pas venimeuses, mais elles peuvent donner les allergies, alors si vous les touchez (avec une extrême délicatesse), n’oubliez pas de vous laver soigneusement les mains.
Cette photo a été prise dans un vivarium où je me suis également retrouvée nez à nez avec une des vipères les plus venimeuses, le fer-de-lance. Heureusement nous étions séparées par une vitre... Je déteste les serpents et j’en ai une trouille bleue, alors j’étais effrayée à l’idée d’une rencontre avec le fer-de-lance dans son milieu naturel… Pour cette raison, durant tout notre voyage, avant de poser le pied par terre je scrutais scrupuleusement chaque branche, ce qui rendait fou P'tit Suisse et faisait sourire les autochtones…
Alouate ou Singe hurleur - Península de Nicoya
Plage - Parque National Santa Rosa, Parc National Marino Ballena et Curú National Wildlife Refuge
Coati à nez blanc - Hacienda Barú
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge et Parque Nacional Manuel Antonio
Instantanés - Hacienda Barú, Puntarenas et Parque Nacional Volcán Rincón de la Vieja
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge, Puntarenas et Parque Nacional Volcán Rincón de la Vieja
Comme d'habitude, nous avons préparé notre voyage nous-même. Si vous avez besoin d'aide ou quelques détails vous intéressent, je reste à votre disposition :)
à suivre...
EN FRANÇAIS: 2 tys km w 19 dni...
Au Costa Rica, nous nous sommes lancés à la recherche des paresseux somnolents perchés en haut de leurs arbres, nous sommes tombés nez à nez avec un fourmilier bien occupé et rencontré de grandes troupes de coatis, nous avons suivi les traces du tapir timide qui n'a pas daigné se monter et nous avons fait un grand détour devant un troupeau de pécaris peu commodes et très odorants.
Nous avons dormi sur les contreforts de l’Arenal, un volcan classé parmi les volcans les plus dangereux de la planète. En signe de bienvenue, il a éternué en crachant une jolie corole de lave ce qui nous a complètement laissé bouche-bées. Après un tel « bonjour » j’ai eu des cauchemars… Surtout qu'il est difficile de dormir avec un volcan qui produit des rejets pyroclastiques presque en permanence : c'est comme un éboulement sans fin.
Nous avons observé des singes vivant en liberté tout on se posant la question de savoir qui était le plus fascinés : nous par eux ou eux par nous :)
Nous sommes partis en bateau à la recherche des baleines à bosses. Nous en avons rencontré plus d'une dizaine qui nageait et soufflait autour de nous. La nuit, dans le cadre d'un programme national, nous avons marqué des tortues olivâtres qui pondaient sur la plage où elles avaient elles-mêmes vu le jour quelques années plutôt. Un souvenir inoubliable.
Je me suis fait pincer par un grand ara amoureux… Le soir, pour nous endormir, nous étions bercés par les cris des singes et le matin, réveillés par les chants des toucans. La journée nous devions crier pour couvrir les chants de cigales. Costa Rica… côte riche. Paradis sur terre ! Nous y retournerons un jour.
Contact... - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya
Sur cette photo, sous voyez la petite main d'un singe araignée. C’est un de ces malheureux singe-jouet, arraché à son environnement naturel pour en faire un animal domestique. Le mignon bée singe a grandi et, au bout d’un certain temps, a lassé ses propriétaires qui lui ont rendu la liberté en le condamnant à une mort certaine… Un singe apprivoisé est incapable de survivre en liberté.
Le Curú National Wildlife Refuge, sur la péninsule de Nicoya, recueille des singes comme celui-là, tout en essayant de leur apporter de meilleures conditions de vie en semi-liberté.
Durant notre séjour dans la réserve, il y avait quelques singes qui vivaient dans l’enclos. Ils nous ignoraient complètement. Tous, sauf un, qui ne nous lâchait pas d’une semelle. On voyait bien qu’il avait besoin de contact avec les humains. En me voyant, le petit singe a couru vers la grille et a tendu le bras vers moi. Nous sommes restés ainsi main dans la main un très long moment. Quand je partais, en pleurant comme une madeleine, il faisait tout pour me retenir…
Singe-araignée vivant en liberté- Parque Nacional Santa Rosa. Guanacaste
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge, Parque Nacional Volcán Arenal et Parque Nacional Volcán Rincón de la Vieja
Singe écureuil - Parque Nacional Manuel Antonio
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge, Parque Nacional Corcovado et Parque Nacional Volcán Rincón de la Vieja
Araçari à collier - Parque Nacional Manuel Antonio
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge et Hacienda Barú
Paresseux à trois doigts - Parque Nacional Manuel Antonio
Le Curú National Wildlife Refuge est, sans aucun doute, en endroit magique. Les amoureux de la nature, surtout ceux avec le cœur bien accroché, y trouverons tout dont ils rêvent: la foret pluviale, la forêt sèche typique de la province de Guanacaste, la mangrove, des marécages, la plage bordée de palmiers, des falaises rocheuses, ainsi qu’une profusion des animaux sauvages.
Nous sommes arrivés à Curú peu avant le couché du soleil. Le garde à l'entrée de la réserve nous a tout de suite prévenus qu’il n’était trop tard pour commander le repas du soir. Alors si nous avions faim, il nous fallait retourner au village. Ensuite, suivant ses indications, nous avons repris la voiture pour rejoint notre cabina, qui nous a laissée complètement sans voix. Si nous n’avions pas été fatigués par une longue et épuisante route, nous serions enfuis en hurlant… J’ai déjà eu l’occasion de dormir dans des endroits vraiment divers, des plus luxueux aux plus sordides. Cependant la cabinas à Curú dépassait même la nuit passé à la gare de Saint-Lazare à Paris, même si, à l’époque, j’étais persuadée qu'il était impossible de faire pire. Je me trompée…
Situé sur une splendide plage, notre petit bungalow était le dernier d'une série de six, dont deux étaient à demi écroulés et heureusement désaffecté. Nous avions à disposition une chambre, une salle de bain, une cuisine. Il faut ajouter des guillemets à ces termes. Le bagne de Cayenne devait avoir cinq étoiles lorsqu'il était en fonction, si on le compare à notre logement. La différence essentielle doit être l'absence de serrure... Les murs lépreux grouillaient d'une une multitude de fascinantes bestioles plus horribles les unes que les autres, dont les plus étonnants étaient certainement les préhistoriques amblypyges, contre lesquelles le vague souvenir de la moustiquaire ne représentait aucun obstacle…
La fatigue nous a vaincus. Nous avons déplacé notre lit au milieu de la chambre et nous nous sommes mis d’accord que la douche n’était pas une priorité. Nous pourrions dormir sale et nous laver le lendemain dans la mer. Après quoi nous quitterions cet endroit à l’aube. Nous avons dormi très mal, sans arrêt réveillés par les noix de coco s’écrasant sur le toit métallique de notre bungalow. A l’aube nous étions debout près à partir… Ensuite nous avions vu des capucins, des singes hurleurs, des cerfs de Virginie, des basilics, des ratons laveurs ainsi qu’un nombre incroyable de différents oiseaux. Nous nous sommes baignés dans la mer, avons mangé le petit déjeuner et… sommes resté pour une nuit de plus :)
Spatule rosée - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya.
Capucin moine - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya.
Caracara huppé - Curú National Wildlife Refuge.
Capucin moine - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya.
Halloween Crab - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya.
Ibis - Curú National Wildlife Refuge, Penisula de Nicoya.
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge, Península de Nicoya.
Grenouille aux yeux rouges - Parque Nacional Volcán Arenal.
Pour rencontrer cette adorable grenouille aux yeux rouge, il faut partir au crépuscule. C’est une des grenouilles plus médiatisées des forêts pluviales de l’Amérique Centrale et du Sud. La première fois, nous sommes partis à sa rencontre en compagnie d’un guide, sans lequel il nous aurait été impossible de la trouver. Plus tard, dès que nous entendions son chant caractéristique à la tombée de la nuit, nous partions immédiatement à sa rencontre. Ces petites grenouilles ne sont pas venimeuses, mais elles peuvent donner les allergies, alors si vous les touchez (avec une extrême délicatesse), n’oubliez pas de vous laver soigneusement les mains.
Cette photo a été prise dans un vivarium où je me suis également retrouvée nez à nez avec une des vipères les plus venimeuses, le fer-de-lance. Heureusement nous étions séparées par une vitre... Je déteste les serpents et j’en ai une trouille bleue, alors j’étais effrayée à l’idée d’une rencontre avec le fer-de-lance dans son milieu naturel… Pour cette raison, durant tout notre voyage, avant de poser le pied par terre je scrutais scrupuleusement chaque branche, ce qui rendait fou P'tit Suisse et faisait sourire les autochtones…
Alouate ou Singe hurleur - Península de Nicoya
Plage - Parque National Santa Rosa, Parc National Marino Ballena et Curú National Wildlife Refuge
Coati à nez blanc - Hacienda Barú
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge et Parque Nacional Manuel Antonio
Instantanés - Hacienda Barú, Puntarenas et Parque Nacional Volcán Rincón de la Vieja
Instantanés - Curú National Wildlife Refuge, Puntarenas et Parque Nacional Volcán Rincón de la Vieja
Comme d'habitude, nous avons préparé notre voyage nous-même. Si vous avez besoin d'aide ou quelques détails vous intéressent, je reste à votre disposition :)
à suivre...
EN FRANÇAIS: 2 tys km w 19 dni...
Magnifique Anoushka, quel beau voyage ça a dû être. Je me réjouis de la suite (pour autant qu'il n'y ait pas de serpent, je les déteste autant que toi!)
RépondreSupprimerChe foto stupende, ti faccio i miei complimenti, sono davvero emozionanti.
RépondreSupprimerCiao e buon w.e
Merci Agnieszca de partager et me laisser découvrir tes photos d'une grande beauté....phrases pleines de sensibilité qui sont le reflet de ta personnalité!!!
RépondreSupprimerSpiruline,
RépondreSupprimermerci!
C'était le voyage classé parmi"inoubliable":) Nous avons toujours les yeux pleins d'images et de souvenirs…
VIOLA,
grazie mille per tuo messagio.
Buon WE a te :)
MARI CARMEN,
tu es trop chou! Comme d’habitude :)
Gros bec :*
Quel superbe récit ... les photos sont magnifiques, avec des couleurs souvent écarlates. Je resterais des heures à observer les singes (toujours très expressifs)...
RépondreSupprimerUn voyage inoubliable (je veux bien te croire !).
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ton photoreportage. Tes photos sont extraordinaires et tes textes très agréables à lire. Je suis allée au Costa Rica, il y a de cela bien des années, mais je n'ai jamais eu le courage, que toi tu as eu, d'aller dans la jungle avec un guide, car j'ai moi aussi peur des serpents. En fait de toutes les bestioles un peu bizarres ;-)
RépondreSupprimerJamais je n'oublierai la beauté des toucans dans les arbres, le tour de vélo qu'on a fait dans un village, notre trajet en autobus local entre Jaco et le parc Manuel Antonio à travers les plantations de bananiers en slalomant entre les trous sur la route, les plages de ce même parc et... la confiture de papayes. Merci pour ce fabuleux billet!
Lou
description trés originale avec beaucoup de sensibilité de votre voyage au Costa-Rica , assorti de superfes photos .Je ne manquerai pas le refuge de CURU quand je vais passer une semaine dans le sud de la péninsule de Nicoya autour de Manzanillo ,en mars 2011.J'attends la suite de votre récit.
RépondreSupprimerI really love to travel...looks like adventureous and nice trip :) Photos are georgeous!
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